Texte issu du quatrième atelier d'écriture (durée : 1h45) 
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Quand Aurélien attrapa Bérénice, son cul rougit fortement. A coup de ses larges paumes, il laissait l'emprunte de ses mains à chaque claques sur son fessier. Il aimait ça, fesser son large cul rebondit pendant qu'il la fourrageait avec toute la force animale qui le caractérisait. Et elle, que penser d'une femme, transformée sur l'instant en chienne, arrière-train remonté et offert à la vue au sexe et aux mains d'Aurélien. 
Ils étaient faits pour s'entendre. Oups, pour s'emboîter plutôt. Parce qu'au quotidien, c'était plus souvent rage que fantaisie. Mais au lit, aucun record ne leur faisait peur. 
Il y eu bien une fois où la police était intervenue. Bizarrement, pas pendant une dispute, mais au bruit de ses paluches à lui sur son cul à elle, répété à loisir, à jouissance. Comment expliquer que, oui, madame est frappée, mais oui, elle en redemande ! 
Seule la semence d'Aurélien calmait le feu de la fessée sur le galbe fessier de Bérénice. 
Un couple sans histoire à l'extérieur, bourgeois, BCBG même. Et une fois dans le foyer, le feu explosait. Soit la vaisselle volait, soit les vêtements volaient, sans juste milieu. 
Et à cette instant, plus question de vêtement. Mlle Bérénice (comme elle aimait être appelée pendant la levrette) en prenait plein la chatte et son cul virait au rouge vif. Pauvre Aurélien, la main endolorie, la queue aspirée par ce vagin qui l'inondait jusqu'aux couilles. 
Il aimait voir SON objet de désir, SA chienne, ainsi offerte. 
Et il aimait cette vue, imprenable, sur les monts rouges contre lesquels venait cogner son ventre à chaque fois qu'il était bien au fond d'elle. Ce tatouage, qu'il y a deux ans, avait provoqué un vol de vase, jouait maintenant à le saluer, du creux de ses reins. 
Et il alternait, main droite qui claque, queue qui baise, main gauche qui claque, queue qui baise ... Et aux vocalises de Bérénice, elle aimait, la salope, SA salope. 
Bérénice ne restait pas en reste. Punaise, elle adorait ce grand miroir devant le lit. Elle y voyait le plaisir d'Aurélien, elle pouvait si elle le voulait anticiper chaque claque. Elle jouait de son fessier par mouvement latéraux. Et par dessus tout, elle contractait son vagin à chaque sensation de feu sur son cul. 
Fusion, voilà qui les décrit bien. Fusion animale, fusion anatomique même. 
Lui qui se croyait pervers avant de la fréquenter, avait trouvé plus pervers que lui. C'est elle qui l'avait initié à la fessée. Il hésitait au début, retissant à provoquer la douleur. Mais il ne devait pas en être ainsi puisqu'elle en redemandait à chaque fois. 
Maintenant, ils avaient trouvé leur rythme de croisière : autant dans la douleur que dans la jouissance. 
Et qu'on ne vienne pas leur parler de fouet, martinet ou autre artifice. La douleur sur le cul devait avoir sa contrepartie sur la main. Donc Bérénice à le cul endolori autant qu'Aurélien a les mains en souffrance. Comme ça, ils continuent à jouir l'un de l'autre, même à distance, quand elle s'assoit ou qu'il attrape son stylo. 
La large queue d'Aurélien avait de suite plu à Bérénice mais son coté candide bien que désireux lui avait fait baisser pavillon, au rythme où elle baissait sa culotte et lui baissait ses mains sur son cul. 
Heureusement qu'aujourd'hui, sa main n'est pas morte. 
Il savait qu'elle aimait ça, ce sexe, ce comportement. Mais bien que gourmande, il ne l'avait jamais vu et senti autant excitée, humide et active. 
Bérénice était aux anges, demandant toujours plus, toujours plus fort, toujours plus loin ce soir. Elle ne pouvait pas sortir de sa tête cette main baladeuse à son travail, cette main qui, entreprenante, lui avait asséné une telle claque sur le cul que ses gros seins en ont tressailli. 
Christelle, cette petite secrétaire, presque invisible, lui avait fait ce "compliment" si on peut dire : avec un cul comme ça, ça serait dommage de l'utiliser uniquement pour s’asseoir dessus. 
Et là, à chaque fois que la main d'Aurélien s'abattait sur son cul, elle pensait à Christelle, et ça l'excitait comme jamais et mouillait comme une fontaine qui a trouvé une seconde source. Oui, elle aimait Aurélien, l'effet de sa queue en elle, la force de ses mains, mais là, elle pensait à la surprise de ces mains fluettes, que jamais elle n'avait imaginé toucher son postérieur, et encore moins y claquer une fessée magistrale. Si elle s'écoutait, elle demanderait de lui ravager la peau à coup de paumes. 
Elle divaguait, la douleur, la jouissance, le fantasme, tout se mêlait. Quatre mains sur son cul pendant qu'elle se faisait baiser, voilà ce qu'elle aurait voulu, juste là, à l'instant. 
Aurélien pilonnait de toutes ses forces et obéissait à la chienne de maîtresse, en assénant des coups de plus en plus fort, couvrant tout son postérieur de ses empreintes, blonche sur une peau rougie au sang. Il aimait le plaisir de Bérénice, sa jouissance. Et puis la voir en telle forme et pleine d'envies, bien sur qu'il avait des idées. Non pas qu'il imaginait un instant ce contact lesbien de l'après-midi, mais il se sentait mâle, viril, fort. 
Oui, contact lesbien puisqu'il avait généré du désir sexuelle sur au moins une des protagonistes.
Il avait envie d'elle, comme jamais. Sa queue se sentait au paradis dans ce trou humide, dégoulinant. Mais à force de frapper, il avait détendu le fessier de Bérénice, offrant à son regard ce second trou, moins humide, moins dégoulinant mais tout autant enviable. 
Bérénice, tout à sa jouissance à la fois physique (merci Aurélien) que psychologique (merci Christelle) ne sentit pas la queue de son homme quitter sa chatte, toute cette jouissance provoquée par les fessées lui avait fait sortir de son enveloppe charnelle. 
Elle sentit des mains s'abattre sur sa chair, puis à nouveau la virilité d'introduire en elle, provoquant une jouissance nouvelle. Comment résister à glisser sa queue dans ce petit trou, logé au milieu d'un cul dont il aimait tant à s'occuper. 
Bérénice jouit comme jamais, sentant ce membre luisant de sa propre mouille s'engouffrer dans son fondement, en même temps que deux mains puissantes claquer sur son cul. 
Elle n'était plus femme, juste une masse de plaisir, d'un rouge incendiaire, les fesses pareilles à une pièce de boucher, les orifices enduits, l'un par son jus, l'autre du sperme d'Aurélien. Il n'avait pas pu se retenir tellement c'était bon de pénétrer ce cul qu'il malmenait avec et pour beaucoup de plaisir sans jamais y avoir pénétré. 
Ils étaient rassasiés, tels deux enfants, fatigués d'avoir trop joué, trop joué à des jeux de grands. Elle frissonnait à chaque caresse de ses mains sur sa peau à vif, lui souriait béatement. 
Et se tournant vers lui, sous le ton de la confidence, comme elle lui avait dis la première fois au creux de l'oreille "tu m'as bien faite jouir", là, elle lui glisse : il faudra penser à remercier Christelle.